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Success Story

Success Story #1 – Manon Hovaguimian partage son expérience avec fulll !

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26 septembre 2022

Success story 1 fulll - Manon Hovaguimian

Manon Hovaguimian

Expert-comptable – Cabinet H&H Conseils

Bonjour Manon !

Cela fait presque deux an maintenant que tu es cliente fulll, et nous sommes ravis de pouvoir mettre en avant la toute première success story de notre blllog (et certainement pas la dernière !).

Nous parlerons à la fois de ton jeune cabinet – H&H Conseils – mais nous chercherons aussi à en apprendre plus sur ce que le logiciel fulll t’apporte dans ton quotidien d’expert-comptable. 

Prête ? C’est parti ! 

  1. Peux-tu nous en dire plus sur ton cabinet ?

    J’ai créé le cabinet il y a 1 an et demi. J’avais besoin de liberté et d’autonomie, envie de pouvoir choisir mon lieu de travail et les clients que j’allais accompagner.

    Pour l’instant, il n’y a que moi au sein du cabinet. Je ne sais pas encore si je vais embaucher ou pas, car j’aime bien travailler seule. Par contre, je fais pas mal de partenariats ! Par exemple, je travaille avec une avocate spécialisée dans le droit des affaires.

    Pour le moment, j’accompagne une quarantaine de clients, principalement des TPE et avec une majorité d’indépendants qui après avoir été en auto-entreprise, ont créé leur société.

    Au niveau du secteur d’activités, j’ai un peu de tout : de la profession médicale, des architectes, de la rédaction web, du développement logiciel, une éleveuse de chevaux,… J’ai aussi des artistes ! Etant donné que j’ai fait mon mémoire là-dessus, je sais gérer autant le côté “société de production” que le côté “maison des artistes”.

    Concrètement, le but pour moi c’est que mes clients gèrent leur activité et que moi je m’occupe du reste. Du moins, tout ce qui me concerne, c’est à dire les déclarations, la compta, l’administratif,… J’ai aussi un côté assez pédagogue. Quand ils sortent du bureau ou quand on a fini un appel, je veux être sûre qu’ils ont bien compris ce qui se passe dans leur boîte, sinon ça ne sert à rien qu’ils aient un expert-comptable.

     

  2. Parmi les logiciels disponibles sur le marché, pourquoi avoir choisi fulll ?

    Dans mon ancien cabinet, j’utilisais un logiciel concurrent, mais le service client n’était pas à la hauteur. Je devais parfois attendre un mois pour avoir une réponse, et encore il y a des réponses que je n’ai toujours pas eues alors que cela fait deux ans que je suis partie… Et côté budget, à chaque fois s’empilaient de nouveaux coûts, et je ne savais plus où j’en étais dans mes factures. En plus de tout cela, c’était une solution vieillissante, et j’en ai eu marre.

    Un jour, sur un salon Dext et en recherche d’une solution saas, j’ai rencontré Séverine de fulll, et ça a directement matché !

    Ce que j’apprécie également, c’est qu’il y a une équipe dédiée, je sais que j’ai une référente compta, un service client qui fonctionne, je peux plugger tout un tas d’API et du coup je peux avoir la meilleure solution dans chaque outil métier dont j’ai besoin.

    C’est interopérable, ça marche également avec Excel, et concernant le dossier de révision, c’était le plus abouti de tous ceux que j’ai pu voir dans les cabinets dans lesquels j’ai travaillé, pour être honnête.

  3. Quel était ton objectif principal au lancement du projet fulll ?

    Déjà, n’avoir besoin que d’une connexion internet pour faire mon travail ! J’ai déjà eu des expériences compliquées avec des informaticiens qui ne savaient pas résoudre les problèmes… et ne pas avoir à gérer les mises à jour.

    Avec fulll, je ne me pose jamais la question, je sais que c’est tout le temps à jour. Et puis, il y a un vrai support client !

     

  4. Quelles étapes as-tu suivies au démarrage du projet ?

    J’ai signé le bon de commande en octobre avec un souhait de mise en place en décembre. Assez rapidement, Séverine m’a planifié une formation avec une personne en visio pendant deux jours. C’était top, car j’ai vraiment eu une personne dédiée qui m’a fait faire le tour du logiciel.

    Au niveau du lancement, c’est vrai que je me débrouille pas trop mal en informatique, donc je suis allée spontanément chercher les FAQ, qui sont bien faites. Ensuite, selon mes besoins, j’appelais un peu plus souvent le support (surtout au tout début).

    J’ai ouvert le cabinet en janvier et j’ai eu mon premier client en avril. Donc au départ, je n’ai utilisé que mon dossier cabinet. J’avais le temps de chercher, de tâtonner,… Tout s’est donc fait progressivement !

  5. As-tu rencontré des difficultés particulières ? Comment fulll a pu t’aider à les résoudre ? 

    Avant, quand je changeais de logiciel, je retrouvais la même interface comptable un peu archaïque, et c’était donc assez facile d’aller chercher les éléments, on va dire.

    Chez fulll, c’est beaucoup plus facile d’aller chercher ce que je veux faire, mais au début, j’ai eu un côté déstabilisant dans le sens ou ce n’est pas tout à fait la même architecture que les logiciels comptables que j’ai eu l’habitude de connaître. C’est avenant, ça s’ouvre par onglets, je n’avais pas besoin d’ouvrir un autre module pour accéder à l’administration du cabinet, à la gestion des clients,…

    C’est vrai que la formation que j’ai eue pendant deux jours m’a beaucoup aidée. Quand je ne parvenais pas à faire quelque chose, je regardais d’abord de mon côté et si je voyais que je risquais de faire des bêtises, je contactais le support ou j’envoyais un mail. Je recevais assez rapidement une réponse qui était claire (et si vraiment il y avait un bug, il était remonté).

  6. Quels outils fulll ont été mis en place dans ton cabinet, et pourquoi ?

    J’ai forcément la production. En parallèle, j’utilise fulll fact pour certains de mes clients. Au début, vous ne l’aviez pas lancé, donc j’ai certains clients qui sont sur un autre outil. Pour ceux qui ne veulent pas trop de fioritures, je préfère leur proposer fulll fact, qui est assez bien fait : ça se bascule automatiquement, c’est personnalisable,… 

    Je vois les factures, les clients renseignent les paiements pour leur suivi et je sais alors comment c’est payé. Je peux donc assurer le suivi sans devoir leur demander. C’est un gain de temps !

    J’ai aussi mis en place fulll dashboard pour certains de mes clients pour lesquels j’ai monté des tableaux de bord, parce que c’était plus pertinent que mon autre outil.

    Quant à fulll pilotage, c’est génial ! Avant que cela ne sorte, j’avais commencé à faire le tableau Excel de suivi, etc. Je n’en pouvais plus, c’était compliqué de compiler toutes les échéances en un tableau digeste et d’en faire le suivi. Donc quand c’est sorti c’était vraiment bien ! Une fois que j’ai paramétré mes obligations et que je vais regarder pour les TVA, je vois celles que j’ai envoyées avec les dates par ordre chronologique, mais aussi celles qui restent à envoyer. En plus, c’est automatique, dès que la déclaration a été envoyée, l’outil est mis à jour en temps réel. J’ai aussi vu qu’il y avait le “suivi paramétrages”, qui me permet, quand je rentre deux ou trois clients d’un coup, de voir qui j’ai paramétré ou non.

    Certains de mes clients ont parfois quelques questions par rapport au fonctionnement de l’outil, la plupart d’entre eux arrivent à chercher par eux-mêmes, notamment en allant sur le petit point d’interrogation. Au fur et à mesure, je n’ai quasiment plus de questions, ça roule tout seul.

    J’ai aussi vu qu’il y avait d’autres outils que je pourrais utiliser un peu plus souvent par la suite.

  7. Quel est ton sentiment vis-à-vis du relationnel commercial ?

    Avec Séverine, ça se passe toujours bien ! En général, je lui envoie deux ou trois questions par mail, et si elle a le temps de me répondre elle me répond, si c’est un peu compliqué pour telle ou telle raison, elle me le dit. Souvent, je passe par elle et ensuite elle me redirige vers la personne qui pourra régler mon problème.

    La relation se passe vraiment bien ! J’ai fait pas mal de congrès l’année dernière, et je finissais toujours avec l’équipe si conviviale de fulll !

  8. Quelles sont les ambitions du cabinet pour les années à venir ?

    Pour l’instant, l’idée est de continuer à prendre quelques clients et d’arriver idéalement à 50 ou 60. Pourquoi pas aussi prendre un apprenti ou un alternant que je pourrais former, c’est quelque chose que j’aime bien faire.

    Tout cela en gardant principalement la relation client, parce que c’est ça le plus important.

    Pour moi, l’expérience client est primordiale. Dans mes bureaux, il y a un rooftop très sympa, donc quand il fait beau, je peux faire l’entretien dehors autour d’un café. Pour des clients de proximité, l’entretien peut même se faire dans un bon restaurant. 

    Mes clients disent de moi que je suis réactive, sympa, ils savent que les dossiers sont suivis, qu’à chaque fois qu’il y a un problème, je trouve une solution. C’est ça qu’ils attendent. Quand je vois que je paie 600 à 700 € de frais bancaires pour 3 échanges à l’année, je trouve que c’est assez cher pour un suivi si limité ! Donc quand je fais une note de mission à mon client, il faut qu’il y ait un minimum de suivi et qu’il y ait un vrai apport pour lui et son entreprise.

    Notre métier, ce n’est pas seulement de faire des bilans, c’est d’avoir le client en visio ou au téléphone, lui trouver des solutions, le partenaire adéquat, l’aider à optimiser ses impôts,… Et donc l’accompagner dans la gestion de son entreprise

  9. Quelle suite envisages-tu de donner au projet fulll ?

    Je suis une cliente fidèle : tant que je suis satisfaite, je reste !

    Comme je l’ai dit, l’équipe est accessible, je sais que s’il y a quelque chose qui ne va pas j’ai forcément quelqu’un au téléphone, qui ne prendra jamais les choses mal et fera remonter directement le problème. Si je dis à l’assistance que j’ai vu des choses qui n’allaient pas, on me remercie pour l’information, qui est directement remontée. Enfin voilà, c’est un échange, tout simplement ! Ce que je n’ai jamais connu avec d’autres logiciels, parce que ce n’est pas leur vision des choses. 

    fulll, c’est un éditeur qui continue d’évoluer dans le temps, qui ne se repose pas sur ses lauriers, et ça me donne confiance pour la suite.

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