Le blllog

Infos, tutos et partages d'expériences de la fulll family par nos experts et amis.

L'article à la une

fulll e-days : Le développement de nouvelles missions grâce à la DATA et l'IA - Le récap'

2 minutes

Mardi, nous vous avons retrouvé pour notre deuxième émission interactive des fulll e-days, en compagnie de Cécile de Saint Michel, Jérémy Paille et Françoise Robert. Pendant 50 minutes, ils ont échangé autour de DATA et l'IA, véritables trésors numériques qui ouvrent de nouvelles perspectives et opportunités passionnantes pour la profession. 

De la collecte intelligente des informations à l’analyse prédictive, jusqu'à la création de services sur mesure, ces nouvelles technologies constituent un moteur de croissance clé pour les cabinets. 

“Ce que je rêve de faire, c'est de la comptabilité prédictive pour mes clients. On parle toujours du passé, mais on ne peut pas le changer. Par contre, ce qu’on peut orienter, c’est l’avenir.” Cécile de Saint Michel, Présidente du Congrès de l’Ordre des experts-comptables.

En résumé, que retenir de cet échange ? 

  • Certains affirment que l’intelligence artificielle et la numérisation de l’économie marquent la fin des professions comptables : c’est une affirmation erronée. En réalité, il s’agit d’un défi qui nécessite des efforts, une adaptation et le développement de compétences existantes ou à acquérir. Tout cela relève de la formation et de l’accompagnement des collaborateurs, car les tâches automatisées réduiront la charge de travail des employés, mais ils devront également monter en compétence. Ces défis sont autant d’opportunités qui se présentent pour les cabinets, qui peuvent en plus de cela compter sur des partenaires qui développent des outils pour les aider à progresser encore davantage.

  • Certes, des changements sont nécessaires au sein des cabinets, mais ils sont bénéfiques et induits par l'évolution technologique et les nouvelles attentes du marché. Aujourd’hui, les chefs d'entreprise attendent davantage que de simples déclarations fiscales et légales : ils souhaitent plus de valeur ajoutée. Or, les cabinets n'ont pas toujours le temps de répondre à ces nouveaux besoins et attentes, trop souvent pris dans des missions traditionnelles qui sont très chronophages. C’est là que les outils technologiques deviennent un soutien précieux pour les collaborateurs, qui vont gagner un temps précieux sur l'exécution de leurs missions traditionnelles, qu’ils pourront consacrer au conseil à leurs clients.

  • Avec l’IA, l’humain reste l’élément central, avec son intelligence et son esprit critique. Les outils ne sont que des aides, des accélérateurs, et il est essentiel de savoir les utiliser et surtout d’avoir l’adhésion collective du cabinet.

  • Avant de parler d’outils, il faut définir une méthode. Selon Hexagone Stratégie, voici les questions à se poser pour définir une méthode efficace :
    • Comment collecter la donnée pour mon cabinet ?  
    • Comment stocker la donnée et comment la rendre lisible ?
    • Une fois les données centralisées, comment les exploiter en fonction des objectifs et missions du cabinet ? 
  • Il ne faut pas avoir des outils pour avoir des outils. Il est essentiel d'analyser les processus au sein des cabinets afin de choisir les outils qui seront en adéquation avec vos besoins. N’hésitez pas également à vous entourer d’outils diversifiés !

  • Pour avancer, il n'existe pas de méthode unique. Il y a plusieurs approches possibles, plusieurs missions à développer,... Il est important de comprendre que ces changements prennent du temps et nécessitent une période d'adaptation. C’est pourquoi il faut impérativement impliquer les équipes en leur expliquant les raisons de ces changements. Le Congrès de Marseille a justement pour objectif de faciliter cette démarche : oui, tout le monde est conscient de la nécessité de changer, mais il est maintenant crucial de comprendre comment procéder concrètement pour réussir cette transition.
“Il n’y a pas une seule bonne manière de faire. En revanche il y en a une mauvaise, celle de ne rien faire”. Jérémy Paille, Fondateur de l'agence Hexagone Stratégie.
  • L’IA et la DATA sont des opportunités énormes qui vont susciter de nouvelles vocations, faire rayonner la profession et remettre l’expert-comptable à sa place bras droit du dirigeant d’entreprise.

L’exploitation de la DATA et de l’IA ouvre donc de nouvelles opportunités exceptionnelles pour les experts-comptables. Grâce à ces avancées technologiques, ils disposeront de plus de temps à consacrer à leurs clients, et devenir ainsi leur partenaire conseil privilégié.

Et vous, qu’en pensez-vous ? 

Vous n’avez pas pu assister à l’émission ? Un replay est déjà disponible. N’hésitez pas à vous inscrire aux prochaines sessions organisées lors des fulll e-days !

Avec Cécile de Saint Michel, Jérémy Paille et Françoise Robert, découvrez comment la DATA et l'IA ouvrent de nouvelles perspectives et opportunités passionnantes pour la profession. 

Lire la suite

Derniers articles

Filtrez les articles en sélectionnant un ou plusieurs tag(s) ! 👇
Thank you! Your submission has been received!
Oops! Something went wrong while submitting the form.
Events pro
Conseils

fulll e-days : le rôle crucial du data controller dans la transformation digitale - Récap de la masterclass

2 minutes

Lors de la 2ème masterclass des fulll e-days, Stéphane Raynaud (expert-comptable au cabinet BBA) et Pierre Pilette (Data product manager chez fulll) ont parlé du métier en plein essor dans les cabinets : le data controller. Dans cet article, nous revenons sur cet échange passionnant et instructif. 

Vous souhaitez aller plus loin ? Un replay est disponible. Bon visionnage ! 

L’explosion de la data dans les entreprises et les cabinets

À cause de la digitalisation de l’économie et de l'augmentation de l'utilisation des outils numériques en entreprise, le volume de données mondiales dans les entreprises a doublé au cours de la dernière décennie. 

Certaines sources de données, comme la facture électronique, les données des outils d’intelligence artificielle et les données de paiement, participent à accélérer cette croissance, qui s’annonce exponentielle. Autant de défis que d'opportunités pour les entreprises… et les cabinets d’expertise comptable. 

Face à cette explosion de la data, la clé, c’est l’AN-TI-CI-PA-TION.

Les impacts sur les métiers dans les cabinets

Les cabinets d’expertise comptable ont toujours traité des données, mais la quantité de ces données et la façon dont elles sont collectées ont évolué. C’est pour cette raison que de nouveaux profils, tels que le coach client, le spécialiste de mission et bien sûr le data controller, commencent à apparaître dans les cabinets.

Et qui dit nouveau profil, dit nouvelles compétences à développer.  

“Non, le métier de traitement de la donnée comptable ne va pas disparaître. Par contre, la manière de l'appréhender va changer”. Stéphane Raynaud

Selon un sondage réalisé lors de la masterclass, 48% des cabinets ont identifié des nouveaux profils dont ils ont besoin, mais ne les ont pas encore mis en place, tandis que 42% ne les ont pas encore identifiés. Des résultats qui montrent une certaine forme de prise de conscience, mais qui démontrent également qu’il reste du chemin à parcourir pour faire connaître ces nouveaux profils. 

Le data controller, l’acteur indispensable

Garant de la gestion et la sécurisation des données, le data controller a quatre missions principales : 

  • Connecter le système d'information du client au cabinet et assurer le bon paramétrage de l’outil. 
  • Vérifier que tous les flux de données des clients sont bien intégrés.
  • Vérifier la qualité des données. Dans le langage du data controller, on parlera de “dénouement d’informations”. 
  • Assurer que la donnée rentrée est qualifiée, de bonne qualité et donc restituable. 

Les impacts comportementaux et techniques sur les collaborateurs

Quels impacts comportementaux ? 

Tout d’abord, un changement de culture au sein des cabinets comptables. Les collaborateurs doivent désormais adopter une approche plus centrée sur la donnée, et prendre en compte les enjeux liés à la protection des données personnelles. Il y a donc une nécessité de faire évoluer certains comportements et mentalités.

Ensuite, les collaborateurs doivent acquérir de nouvelles compétences pour travailler efficacement avec les données. La maîtrise d'outils informatiques, des connaissances en matière de statistiques et d'analyse de données et une compréhension des enjeux juridiques et réglementaires liés à la protection des données est nécessaire. Pour acquérir ces compétences, des formations sont évidemment nécessaires.  

Véritable évangéliste de la donnée, le data controller doit également être capable de partager les informations de manière fluide et de travailler en collaboration étroite avec les autres services du cabinet (comptabilité, audit et juridique). 

Quels impacts techniques ? 

L'arrivée du data controller s'accompagne de la mise en place de nouveaux outils informatiques pour la collecte, le stockage, le traitement et l'analyse des données. Il est donc indispensable que les collaborateurs apprennent à utiliser ces nouveaux outils et qu’ils les intègrent à leurs pratiques quotidiennes.

De nouveaux processus doivent être mis en place pour gérer les données, en veillant à leur sécurité, à leur confidentialité et à leur conformité à la réglementation. Les collaborateurs doivent être informés de ces nouveaux processus et être en mesure de les suivre.

Le data controller étant responsable de la gestion des risques liés aux données, les collaborateurs doivent être sensibilisés aux risques potentiels, tels que les fuites de données et les cyberattaques, et savoir comment les prévenir.

Les facteurs de réussite pour le data controller

  • La formation des collaborateurs, qui n’est pas anodine, car elle représente un certain investissement et engagement du collaborateur et du cabinet. Selon Stéphane Raynaud (dont le cabinet BBA a déjà formé près de 300 data controller), le programme de formation varie entre 80 et 120 heures sur 12 à 18 mois. 
  • Une communication claire
  • Un engagement total de la direction, qui doit offrir les bonnes conditions de travail au data controller.

Vous l’aurez compris, le rôle de data controller dans les cabinets d'expertise comptable est crucial et indispensable pour faire face à cette croissance exponentielle de données. La data fait et continuera à faire partie du quotidien des entreprises et des cabinets, entraînant une transformation des métiers et le développement de nouvelles compétences. 

Il est maintenant temps d’anticiper ce changement, d’adopter une attitude proactive et d’encourager vos clients à suivre cette nouvelle direction.

Vous souhaitez voir ou revoir notre masterclass ? Accédez au replay !

Lire l'article
Events pro
Conseils

fulll e-days : la création d’un processus commercial pour son cabinet - Retour sur la masterclass

2 minutes

Faire vivre une expérience client remarquable, de la première prise de contact jusqu’à la fidélisation, est essentiel pour démarquer votre cabinet. Mais comment faire? Vous l'avez découvert lors de la première masterclass des fulll e-days.

Pendant cette session enrichissante, Jonathan Cohen (expert-comptable et fondateur d’Acasi), Jérémy Paille (fondateur de l’agence Hexagone Stratégie) et Lionel Garnier (responsable de secteur chez fulll) ont partagé des conseils et bonnes pratiques sur l’accompagnement de vos prospects et clients, le développement des missions de conseil, ainsi que la mise en place de méthodes et d’outils pour augmenter le chiffre d’affaires de votre cabinet.

Les sujets abordés ?

  • Pourquoi développer un processus commercial ?
  • Quels principaux bénéfices pour votre cabinet ?
  • Quelles sont les étapes de création ?
    • Comment définir vos objectifs ?
    • Comment définir votre stratégie ?
    • Comment suivre et analyser vos résultats (ROI) ?
  • Quels sont les préjugés et idées reçues ? Et comment aller au-delà ?
  • Comment communiquer à l'extérieur (avec des exemples concrets) ?
  • Quelles sont les bonnes raisons de passer à l'action (chiffres à l'appui) ?

Interactive, cette masterclass nous a permis de poser différentes questions aux participants.

Ce qu'on en retient ?

Sans grande surprise, 72% des participants déclarent ne pas avoir mis en place de processus commercial dans leur cabinet. Alors que ses bénéfices sont nombreux !

  • Amélioration de l'expérience client
  • Gain de temps
  • Développement des missions de conseil et d'accompagnement
  • Automatisation des actions.
  • … et on en passe !

Les principaux freins notés ?

”Je n’ai pas le temps”. Or, avoir un processus commercial permet justement de gagner du temps et de le consacrer à des tâches plus valorisantes et utiles pour le cabinet et vos clients. Tout est une question de méthode, d’outils et de processus d’automatisation à adapter.

“Je n’ai pas de ressources”. Or, ces ressources sont un investissement utile dans la stratégie et le développement du cabinet.

Gardez une chose à l’esprit : il n’existe pas de recette miracle. Pour réussir, il faut tester, analyser, suivre et comparer vos actions afin d’affiner votre stratégie. Vous devez vous adapter aux besoins et attentes de votre public cible et créer un processus commercial qui correspond à votre cabinet, à vos objectifs, à votre image et à vos collaborateurs.

Vous souhaitez avoir plus de détails sur ces échanges ? Un replay est disponible. Bon visionnage !

Lire l'article
Events pro
Conseils

fulll e-days : La valeur ajoutée de la data sectorielle - Le récap'

2 minutes

Jeudi, c’était le top départ des fulll e-days avec notre émission 100% live.

Guillaume Sanchez, chef étoilé et ancien candidat Top chef est venu challenger la profession comptable aux côtés d’Alexandre Boutarin (expert-comptable et Président du Groupe Eurex) et de Thomas PetitBerghien (Directeur de produits chez fulll, notamment en charge de la modélisation des données sectorielles). 

50 minutes pour découvrir comment : 

  • l’accès aux données comparatives peuvent changer la donne pour les entrepreneurs, mais aussi les experts-comptables qui veulent devenir des conseillers experts dans le domaine de leurs clients ;
  • explorer les indicateurs clés du secteur de la restauration ;
  • découvrir l’influence significative de la data sectorielle sur la stratégie des entreprises pour en maximiser les bénéfices.

Quand Alexandre et Thomas interrogent Guillaume sur la valeur ajoutée de la DATA sectorielle (et notamment du datalake Impulse Data), voilà ce qu’il en dit :

C’est très compliqué de naviguer les yeux fermés en tant qu’entrepreneur. C’est pour cela qu’avoir une connaissance du passé à très court terme et réussir à voir si le problème est général ou juste positionné sur notre entreprise, cela permet de piloter l’avenir."

Ce qu’on retiendra d’autre de cet échange ? 

  • La data est au centre de tout, et elle est porteuse d’opportunités quand elle est gérée et exploitée de façon pertinente.
  • Entre l’accélération de la digitalisation, le développement de l’intelligence artificielle, le renforcement de la cybersécurité et l’adaptation aux métiers de demain (notamment RSE), les entreprises ont des besoins croissants et sont en attente d’accompagnement par leur expert-comptable. 
  • La data et l’IA vont permettre à l’expert-comptable de traiter de gros volumes de données, de se spécialiser dans plusieurs secteurs d’activité, et donc d’apporter un conseil sur mesure à ses clients.
  • La mise en commun des données est importante pour avoir des indicateurs de benchmark pertinents qui permettront de mieux appréhender le secteur d'activité des clients.
  • L’expert-comptable est au centre du conseil. La donnée n’est qu’un outil pour conseiller son client en toute clairvoyance avec, à disposition, la panoplie d’outils et de sources de données nécessaires.
  • L'analyse de la data et l’IA donnent une tendance, mais l'humain reste indispensable pour traduire et analyser ces données brutes.
  • L’expert-comptable doit utiliser des outils mis à sa disposition pour gagner du temps et se recentrer sur ses missions d’analyse et de conseil. 
  • Grâce à l’IA générative, l’expert-comptable passera plus de temps à déceler les scénarios d’opportunités qu’analyser réellement l’existant, déjà prémâché par la data.
  • La formation des collaborateurs sur les nouveaux métiers de data controller et les outils technologiques récents est indispensable. 
  • Chaque entrepreneur évolue dans un contexte unique avec des similarités contextuelles. L’avènement du conseil personnalisé, d’un contexte métier et de configuration sont spécifiques à chaque histoire entrepreneuriale. 
  • Pour un entrepreneur, la donnée brute n’est utile que si elle est comparée au passé, à un secteur, un concurrent, etc. 

Lors de l’émission, différentes questions ont été posées à l’audience. Quand nous constatons que 68% des participants intègrent déjà l’utilisation de la data dans la stratégie de leur cabinet ET que 91% pensent que les compétences en data deviendront indispensables pour la profession, nous constatons clairement que les consciences sont ouvertes sur le sujet. 

On voit que le mouvement est amorcé, les confrères ont compris qu’ils devaient devenir des spécialistes de la data et qu’ils devaient être rapides et efficaces dans leur traitement. On sait que la data ne peut pas être que la nôtre, il faut la mutualiser et la travailler ensemble.Alexandre Boutarin

Vous n’avez pas pu assister à l’émission ? Un replay est déjà disponible. N’hésitez pas à vous inscrire aux prochaines sessions organisées lors des fulll e-days !

Lire l'article
Législation

Dispositif d'exonération propre au secteur agricole

2 minutes

Le code rural a prévu un dispositif d’exonération spécifique au bénéfice des employeurs du régime agricole qui emploient des travailleurs occasionnels demandeurs d’emploi (dit “TODE”).

Pour rappel, en quelques mots, cette exonération est calculée sur un périmètre identique à celui de la réduction générale de cotisations patronales (1) et se décline en 3 phases :

  • Elle est totale pour une rémunération mensuelle brute inférieure ou égale à 1,20 Smic mensuel ;
  • Elle devient dégressive pour les salaires supérieurs à 1,2 Smic,
  • Et ne se calcule plus à partir de 1,6 Smic.

La fin de TODE, un feuilleton à multiples rebondissements !

A l’origine, le législateur avait programmé sa disparition effective au 01/01/2021.

Par deux fois décalée, c’est finalement au 01/01/2026 que l’exonération devait en théorie définitivement disparaître au profit de la réduction générale (RGCP).

Alors que l’exonération se conjuguait donc au futur antérieur, notre Premier ministre a de nouveau bouleversé cet agenda en annonçant lors d’une conférence de presse sur la crise agricole, que le dispositif TODE serait non seulement maintenu, mais également pérennisé !

En bonnes journalistes juridiques que nous sommes, nous rappelons que cette mesure devra être inscrite dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2025 pour entrer officiellement en vigueur.

Une pérennisation, mais pas que !

Le contexte de crise rendait nécessaire la prise de mesures à effet immédiat.

C’est pourquoi, pour les périodes d’emploi courant à compter du 01/05/2024, sans toucher ni à la structure ni aux modalités de calcul de l’exonération, le Gouvernement a décidé de relever le seuil d’exonération totale de TODE.

En pratique, elle sera donc, à cette date, maximale jusqu’à 1,25 Smic, puis dégressive au-delà.

A noter que le plafond de 1,6 Smic à hauteur duquel l’exonération ne se calcule plus n’est pas retouché.

On en perdrait notre latin, et aussi notre droit !

Dans l’attente d’une régularisation rétroactive (par le PLFSS pour 2025), c’est donc sur la base de cette annonce, confirmée par une publication de la MSA le 11/04/2024 qui est à ce stade le vecteur d’officialisation de l’annonce ministérielle, que les éditeurs de logiciels de paie vont devoir lancer les paramétrages du nouveau seuil de TODE (2).

Pour finir sur une bonne nouvelle, signalons que l’exonération TODE se calcule mensuellement et sans régularisation progressive, ce qui évitera bien des casse têtes à nos chers informaticiens !

(1) Assurances maladie et vieillesse, allocations familiales, fraction de cotisation AT/MP, FNAL, contribution solidarité autonomie, retraite complémentaire du secteur agricole et assurance chômage)

(2) Dans un communiqué publié le 30/04/2024, le BOSS vient de confirmer l’information du relèvement du plafond d’exonération totale de TODE à compter du 01/05/2024.

Sources :

Lire l'article
Législation

Contribution formation/taxe d'apprentissage et mandataires

2 minutes

En début d’année, une question/réponse très remarquée a été publiée sur le site internet des URSSAF.

Une nouveauté de taille, puisqu’elle prévoyait l’exclusion des rémunérations versées aux mandataires sociaux non titulaires d’un contrat de travail de l’assiette des contributions à la formation professionnelle (y compris 1% CPF-CDD) et de la taxe d’apprentissage (y compris la contribution supplémentaire). Même s’il fallait garder à l’esprit que cette publication n’avait pas de valeur juridique opposable ; elle n’en demeurait pas moins problématique.

On pouvait légitimement se questionner sur le fondement de cette position, car la publication ne mentionnait ni date, ni source particulière.

Peu de temps après, cette Q/R a été supprimée, sans plus d’explication, laissant les professionnels de la paie perplexes… Fallait-il l’appliquer ? Si oui, à quelle date ? Pourquoi cette mention avait-elle été supprimée ?

L’URSSAF lève l’ambiguïté

Dans une mise à jour très récente de la page des URSSAF, il est maintenant indiqué que les mandataires sociaux sont assimilés aux salariés pour l’application de la législation de la sécurité sociale*. Dès lors, les mandataires sociaux doivent être assujettis, qu’ils disposent d’un contrat de travail ou non**.

Selon nos informations, une actualité sera également diffusée via le BOSS, un peu plus tard, pour sécuriser davantage encore la situation.

* article L311-3 du code de la Sécurité sociale

** article L242-1 du code de la Sécurité sociale

Source : site de de l’URSSAF

Lire l'article
Législation

Abondement employeur au PEE, PERCO et PERECO

2 minutes

Abondement employeur au PEE, PERCO et PERECO : quel régime social appliquer ?

La Cour de Cassation a récemment rendu un arrêt dans lequel elle rappelle que le bénéfice des exonérations de cotisations sociales de l'abondement employeur à un PERCO sont subordonnées au respect d'un ensemble de règles définies dans le code du travail, notamment le caractère collectif du plan (L.33332-12 c. trav.). Lorsque ce n'est pas le cas, les sommes doivent être réintégrées dans l'assiette des cotisations et contributions sociales (Cass. civ., 2e ch., 1er février 2024, n° 22-16.581).

C'est donc l'occasion pour nous de vous rappeler le régime social et fiscal de l'abondement employeur aux différents plans d'épargne.

Le régime social de l'abondement employeur au Plan d'Epargne pour le Retraite Collectif (PERCO) et ensuite au Plan d'Epargne pour la Retraite d'Entreprise Collectif (PERECO) sont très proches de celui du PEE (plan d'épargne entreprise) ; les trois dispositifs étant analogues.

En effet, les régimes sociaux sont quasiment similaires exceptions faites :

  • du forfait social,
  • et des plafonds de l'abondement employeur qui constituent les seuils d'exonération.

Vous trouverez ci-dessous un tableau mettant en avant les caractéristiques du régime social et fiscal entre ces trois dispositifs.

 Abondement employeur au PEE, PERCO et PERECO : quel régime social appliquer?
Lire l'article
Législation

Sortie du dispositif de la déduction forfaitaire spécifique (DFS)

2 minutes

Sortie du dispositif de la déduction forfaitaire spécifique (DFS) : la liste commence à s'allonger !

Les secteurs de la propreté et de la construction étaient déjà concernés par une sortie progressive du bénéfice de la DFS, d'autres sont désormais visés !

Brefs rappels !💡

Dans un certain nombre de secteurs d'activité, un abattement sur l'assiette des cotisations est appliqué afin de compenser les frais professionnels supportés par les salariés. Depuis le 1er janvier 2023*, le BOSS a apporté des modifications à ce régime mais certains secteurs d'activité peuvent y déroger en contrepartie de la baisse du taux de l'abattement, et à terme, de sa suppression.

* Ces nouvelles mesures s'appliquaient dès le 1er avril 2021, mais un délai d'adaptation avait été laissé aux entreprises.

I - De nouveaux secteurs concernés par la sortie progressive de la DFS

Les casinos et cercles de jeux, le spectacle vivant et enregistré, les journalistes et les VRP entrent à leur tour dans le process de dégressivité de la DFS.

Nous vous proposons ci-dessous un tableau récapitulatif pour l'ensemble des secteurs visés :

DFS : tableau des secteurs

La sortie progressive de la DFS s'accompagne de principes transitoires pour l'ensemble de ces secteurs.

Ainsi, la DFS peut être appliquée par l'employeur :

- sans que le salarié n'ait besoin de supporter effectivement des frais professionnels,

- même s'il effectue des remboursements pour frais professionnels,

...et bénéficier d'un assouplissement des règles quant au recueil du consentement des salariés.

II - Zoom sur le consentement

Le BOSS a dû revoir sa copie sur les principes dérogatoires énoncés au sujet du consentement, afin de tenir compte d'un arrêt du Conseil d'Etat rendu le 29 novembre 2023 (n°472182) rendu sur le cas particulier des journalistes, mais à portée générale.

- Dans le secteur de la propreté, le consentement recueilli en 2023 est valable jusqu'à l'extinction du dispositif.

- Dans les secteurs de la construction, du transport routier de marchandises et de l'aviation civile, le consentement recueilli avant 2023 est valable jusqu'à la suppression de la DFS.

- Dans les secteurs des casinos / cercles de jeux, du spectacle vivant et enregistré, des journalistes et des VRP :

         > Si le consentement a été recueilli pour une durée déterminée, alors l'employeur devra réitérer sa demande ;

         > Si le consentement a été recueilli pour une durée indéterminée, alors celui-ci est valable jusqu'à la suppression de la DFS.

Enfin, pour les embauches à compter du 1er janvier 2023 et quel que soit le secteur d'activité, à défaut d'accord collectif ou d'accord des représentants du personnels, l'employeur doit obligatoirement obtenir l'accord des salariés :

- L'accord du salarié peut être donné pour une période supérieure à la durée du contrat.

- Le salarié peut renoncer à tout moment au bénéfice de la DFS et sa décision prendra effet à compter de l'année civile suivante.

- Le silence du salarié vaut acceptation.

La suite au prochain épisode, pour savoir si d'autres secteurs d'activité s'ajouteront à cette liste …

Lire l'article
Législation

Paie : de nouvelles valeurs pour 2024 !

2 minutes

Comme chaque début d’année, un certain nombre de valeurs évoluent !

Pour assurer une transition en douceur et effectuer vos premières paies 2024 sereinement, nous mettons à votre disposition une synthèse des principales valeurs applicables en 2024.

N’hésitez pas à conserver précieusement ce document ou à venir le consulter dès que vous en aurez besoin !

Lire l'article
Events pro

Emission-débat “Tendances Comptables 2024”

2 minutes

Pascal Liénard s’est prêté au jeu du direct live pour l’émission-débat Tendances Comptables 2024, aux côtés de Cécile de Saint Michel, Julien Catanese Aubier, Boris Sauvage et Florent Dujardin.

Facture électronique, montée en puissance de l’IA et de la DATA, impact sur les RH en cabinet : il était intéressant de confronter les opinions sur les préoccupations actuelles des cabinets, qui ont plus que jamais besoin d’être accompagnés dans leur mutation.

Lors de l’émission, tout le monde était d’accord pour l’affirmer : il y aura une vraie fracture entre les cabinets qui sauront transformer leur approche avec leurs clients, et les autres.

Face à cela, le CNOEC porte une belle initiative : “Profession comptable 2030”, un vaste de projet de formation professionnelle qui propose :

  • un outil de “diagnostic et d’aide à la décision, 100% gratuit, conçu spécifiquement pour les cabinets d’expertise comptable et d’audit” ;
  • des “parcours de formation innovants à destination des collaborateurs”.

Les éditeurs de logiciels ont eux aussi un rôle à jouer ! Comment ?

En mettant à disposition des experts-comptables les ressources nécessaires pour développer de nouvelles missions.

Nous constatons que les outils de reporting connaissent un succès grandissant auprès des experts-comptables. Interrogé sur des exemples concrets, Pascal Liénard a notamment parlé du Smartforecast de fulll dashboard, capable de proposer un prévisionnel 12 mois totalement automatique, ainsi que nos travaux sur la trésorerie pour arriver à une projection sur 3 mois.

Notre idée étant de permettre à l’expert-comptable de quitter sa posture historique de rédacteur du “bilan”, c'est-à-dire celui qui fige le passé, pour au contraire parler d’avenir à ses clients entrepreneurs.

Comme précisé par Boris Sauvage pendant l'émission, une vraie analyse ne peut s’effectuer sans disposer de données qualifiées en grand nombre, ce que propose de mettre en place le CNOEC, tout en saluant au passage les premières initiatives privées qui défrichent le sujet, comme le projet Impulse Data, techniquement opéré par fulll et qui regroupe les données de près de 500 000 entreprises afin de développer des outils prédictifs pertinents.

Mais là encore, qui va pouvoir utiliser ces informations pour faire passer les bons messages aux chefs d’entreprise ?

Le CNOEC va fournir un effort sans précédent de formation, tant il est vrai que les métiers du cabinet vont évoluer. Après une petite controverse sur la notion de “data-controler”, nouvelle fonction trop souvent assimilée à ce qui reste des fonctions d’acquisition en cabinet, alors qu’elle devrait être généralisée en tant que fonction d’organisation des méthodes et d’optimisation de la gestion des flux, tous se sont accordés à dire que demain, l'offre de service des cabinets aura beaucoup bougé.

En aidant à déployer les offres plus facilement auprès des clients

Développer un catalogue d’offres, c’est une chose, savoir le vendre et le valoriser auprès de ses clients, c'en est une autre. Pourtant, c’est une étape indispensable.

Comme indiqué par Cécile de Saint Michel, la profession comptable n’est pas formée au management, au commerce et au marketing. Or elle va devoir évoluer dans cette approche et embarquer ses équipes.

Les outils peuvent aider. Chez fulll par exemple, nous pensons que la mise en place d’un outil CRM peut faire la différence, par son fonctionnel mais aussi et surtout parce qu’elle entraînera avec elle le partage d’une méthodologie commune au sein du cabinet, en adéquation avec la stratégie.

En incitant à se poser les bonnes questions en amont

Le développement du conseil est une des pistes, l'optimisation du traitement des données également, il est également question de missions beaucoup plus “basiques” qui consistent à externaliser le travail administratif des TPE, permettant ainsi aux chefs d'entreprises de se concentrer sur leur métier.

Pour définir la stratégie du cabinet, d’après Florent Dujardin, il faut prendre les devants et expliquer les enjeux aux collaborateurs, leur demander ce qu’ils veulent faire, savoir où ils se projettent le plus facilement, et en tenir compte dans la formation et la future organisation du cabinet.Pour découvrir le replay, c'est par ici :

Lire l'article
Législation

Augmentation de la contribution AGS pour 2024 !

2 minutes

INFO FLASH !

Inchangé depuis le 1er janvier 2017, le taux de cette contribution va augmenter de 0,05 points.

Le conseil d'Administration de l'AGS a décidé le 27 novembre 2023 que la contribution passera de 0,15% à 0,20% au 1er janvier 2024.

Source : Communiqué AGS du 27/11/2023

Lire l'article
Events pro

78ème Congrès de l’Ordre à Montpellier : quelle édition !

2 minutes

Vous étiez nombreux/ses à nous retrouver sur le stand fulll lors de cette nouvelle édition de ce 78ème Congrès de l'Ordre à Montpellier.

De la part de toute l’équipe fulll, M E R C I !

Que retenons-nous ?

  • Une affluence record sur le congrès, mais aussi sur le stand fulll, prouvant la hausse significative de l’intérêt porté à notre offre (MERCI à vous !). fulll, officiellement la seule solution fulll web vraiment complète pour les cabinets avec la compta, la paie et maintenant la gestion interne.
  • Le constat d’une mobilisation commune autour de la facture électronique, qui malgré son report reste un sujet sur lequel nous devons tous continuer à investir. fulll, ce sont également des outils à mettre en place dès maintenant chez vos clients.
  • La conviction des experts-comptables de faire de la DATA un sujet majeur et central pour les années à venir. Un intérêt massif notamment porté sur fulll CRM, qui bien plus qu’un outil de gestion interne, permet la collecte et l’exploitation des données dans le but de booster la relation client et d’identifier de nouvelles opportunités de missions.
  • Plus que jamais, l’envie de poursuivre notre combat : être aux côtés des experts-comptables avec des outils et un accompagnement pensés pour assurer leur transformation.  

fulll, c’est un logiciel qui se développe et propose plein de nouvelles choses : c’est tout ce qu’on recherche et souhaite dans nos cabinets.

Et ce n’est pas nous qui le disons ! La preuve dans cette vidéo, qui reprend les temps forts du congrès, avec également l’intervention d’Eric D'Andigné et de Pascal Liénard autour du projet fulll, ses ambitions et innovations.

Une 78ème édition plus que réussie pour fulll : merci pour votre intérêt et votre confiance !

On se donne déjà rendez-vous pour la 79ème édition du Congrès de l'Ordre… dans la belle cité phocéenne.

Vous souhaitez en savoir plus sur nos offres ? Contactez-nous dès maintenant à l’adresse mail welcome@fulll.fr ou via notre site.

Lire l'article
Conseils

Les avantages d’un logiciel expert-comptable pour la gestion financière d’une entreprise

2 minutes

La gestion financière est essentielle afin de garantir la croissance d’une entreprise. C’est pourquoi l’expert-comptable joue un rôle crucial dans le maintien de la bonne santé financière d’une structure. Progressivement, les logiciels experts-comptables permettent un suivi personnalisé et toujours plus rigoureux de votre entreprise.

Les problématiques de la gestion financière

La gestion financière pose de nombreuses problématiques auxquelles les experts-comptables doivent faire face : il y a tout d’abord la grande complexité des tâches comptables, la gestion des dépenses et des revenus, ou encore, le suivi des factures et des paiements. Dans ce contexte, les erreurs humaines peuvent arriver et causer du tort à l’entreprise. En limitant ces erreurs, un logiciel de comptabilité constitue un atout de taille pour une société.

Les avantages d’un logiciel expert-comptable

Un logiciel expert-comptable propose 3 avantages majeurs : l’automatisation des tâches comptables (1), un suivi précis des finances (2) et la génération de rapports financiers détaillés (2).

1. L’automatisation des tâches comptables

En premier lieu, un logiciel de comptabilité vous assiste dans l’automatisation des tâches répétitives : par exemple, la saisie de données, la gestion de factures, ou la conciliation bancaire. L’automatisation de ces tâches rébarbatives permet, non seulement de limiter les erreurs humaines, mais elle vous fait aussi bénéficier d’un gain de temps considérable en optimisant vos processus.

2. Le suivi précis des finances

Un logiciel expert-comptable est capable de suivre, en temps réel et sans interruption, les dépenses, les revenus, ou encore, les soldes de trésorerie de l’entreprise. Grâce à ce suivi précis, vous bénéficiez d’une meilleure visibilité financière. Celle-ci vous permet notamment une prise de décision éclairée ainsi qu’une gestion proactive des finances.

3. La génération de rapports financiers détaillés

Un logiciel expert-comptable sait générer des rapports financiers complets tels que les bilans, les comptes de résultat, les états des lieux des flux de trésorerie, etc. Ces rapports détaillés constituent un avantage majeur pour effectuer une analyse approfondie de la situation financière, ainsi que pour l’établissement d’une communication claire avec les parties prenantes.

L’impact positif et avantages d’un logiciel expert-comptable sur la productivité et l’efficacité des entreprises

Les logiciels experts-comptables permettent une augmentation de la productivité des entreprises (1) et l’amélioration de l’efficacité des processus (2).

1. L’augmentation de la productivité

En sous-traitant les tâches manuelles et répétitives à un logiciel expert-comptable, les professionnels du domaine de la comptabilité ont l’opportunité de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée, plus intéressantes, plus utiles, plus délicates… Supprimer les tâches répétitives permet également de réduire le temps de travail, d’optimiser les ressources et, enfin, d’améliorer la rentabilité.

2. Améliorer l’efficacité de vos processus.

En évitant les redondances, les doublons, les erreurs… un logiciel de comptabilité rationalise vos processus. Résultats : les flux de travail sont optimisés, la collaboration est facilitée et la satisfaction client augmente.

FAQ 💬

"Combien coûte un logiciel expert-comptable ?"

Les logiciels experts-comptables adoptent le plus souvent un modèle par abonnement. Un logiciel expert-comptable peut coûter entre 10 et 30 € par mois selon les fonctionnalités qu’il propose, soit entre 120 et 360 € par an.

"Un logiciel expert-comptable est-il compatible avec d’autres outils ?"

Les logiciels de comptabilité proposent, non seulement une large sélection d’outils, mais également la possibilité d’être utilisés en coopération avec des outils externes. Par exemple, fulll peut être utilisé en coopération avec d’autres outils fulll, ou bien avec des logiciels partenaires.

"Les données de mon entreprise sont-elles en sécurité ?"

Les meilleurs logiciels experts-comptables sont certifiés ISO 27001. Il s’agit d’une norme de référence internationale qui régule la sécurité de l’information, notamment dans les systèmes de management. Concrètement, cette norme vise à garantir la confidentialité, l’exactitude et la disponibilité de vos données durant tout leur cycle de vie.

Lire l'article
Facture électronique
Partenariats

Facture électronique : Generix Group et fulll concluent un accord de partenariat industriel.

2 minutes

Nous vous l’avions annoncé : pour répondre à la réforme de la facture électronique, fulll proposera des fonctions d’OD (Opérateur de Dématérialisation) connectées directement à la plateforme d’état, tout en travaillant avec des PDP “amies”.

C’est désormais officiel ! fulll signe un accord de partenariat industriel avec Generix Group (éditeur de solutions SaaS collaboratives et leader français de la facture dématérialisée).

Communiqué de presse

12 juillet 2023

Generix Group annonce la création d’une Plateforme de Dématérialisation Partenaire (PDP) dédiée aux cabinets d’expertise comptable, en s’appuyant sur l’expertise de l’OD (Opérateur de dématérialisation) fulll, spécialisé dans les outils collaboratifs de production comptable et fiscale.

fulll, éditeur de logiciels et opérateur de dématérialisation qui accompagne les experts-comptables dans leur transformation digitale, et Generix Group, éditeur de solutions SaaS collaboratives pour l’écosystème de la Supply Chain et du Commerce, spécialiste dans la gestion des flux dématérialisés et leader sur le marché français de la facture électronique depuis plus de 25 ans, concluent un accord de partenariat industriel. Generix Group crée la Plateforme de Dématérialisation Partenaire (PDP) dédiée aux cabinets d’expertise comptable. Ce partenariat permettra à fulll de compléter son offre d’opérateur de dématérialisation et à Generix Group d’adresser le marché des cabinets comptables et de leurs clients TPE-PME.

Dès le 1 er juillet 2024, les 3 millions de TPE-PME françaises devront obligatoirement recevoir leurs factures au format électronique et devront les émettre dès le 1 er janvier 2026. Or, beaucoup d’entre elles sont encore peu, voire pas du tout équipées, alors qu’il faut compter un délai de 6 mois à 1 an pour mettre en place une nouvelle solution de facturation électronique.

Pour réussir leur transformation digitale, les TPE-PME s’appuient sur leurs experts-comptables, les plus à même de les accompagner dans cette transition majeure, et de leur garantir la conformité réglementaire requise. C’est donc en tant que partenaire privilégié des cabinets d’expertise comptable, que fulll commercialisera la solution PDP « Generix Invoice Services » à ses clients.

Solution unique associant la collecte et la diffusion de toutes les données de facturation, Generix Invoice Services permet de traiter tous les flux de facturation en exécutant l’ensemble du cycle de vie e-invoicing et le flux e-reporting en conformité avec les exigences de la DGFiP. Les TPE-PME pourront ainsi fluidifier leurs organisations internes et favoriser la collaboration opérationnelle de leurs équipes tout en améliorant la performance de leurs activités.

« Choisir Generix Group était une évidence pour nous car en tant que leader français de la facture dématérialisée, c’est un partenaire industriel ayant une forte expertise dans la gestion de gros volumes, avec notamment la capacité de gérer immédiatement des centaines de millions de factures pour nos clients. Ce partenariat permettra à fulll de compléter son offre d’OD pour ceux de ses clients qui souhaiteront travailler avec une PDP. C’est également l’occasion pour fulll de rejoindre le groupe d’entreprises pilotes dont la candidature a été retenue par l’Etat. Les équipes techniques de fulll seront ainsi à même de commencer à tester les connexions à la PPF dès la rentrée et les premiers échanges réels en janvier 2024, afin d’accompagner encore plus sereinement les cabinets d’expertise comptable dans le défi que représente la mise en place de la réforme. »

explique Pascal Liénard, responsable Commercial et Marketing de fulll.

« La réforme fiscale est un enjeu stratégique pour toutes les entreprises qui doivent se conformer à la nouvelle règlementation. Celle-ci impose la récupération des données de facturation dans un format numérique et structuré tout en garantissant la traçabilité totale des flux de facturation, fonctionnalités qui devront être traitées en quasi-temps réel. Notre partenariat avec fulll vise à proposer aux experts-comptables de mettre à la disposition de leurs clients les mêmes outils que ceux réservés jusque-là aux grands groupes. »

explique Fabrice Soveran, Directeur Commercial B2B integration & e-invoicing de Generix Group en France.

Lire l'article
Events pro
Team fulll

fulll day 2023 : une journée dédiée à la profession comptable !

2 minutes

Retour sur les temps forts du fulll day, qui a eu lieu le vendredi 9 juin 2023 au Parc Floral de Paris (12ème)  !

Le fulll day, c’est quoi ?

Une journée autour des enjeux de la profession comptable, avec des intervenants inspirants et des contenus utiles pour accompagner la transformation des cabinets. Une journée inspirante, remplie de convivialité et dans un cadre idyllique et sous un beau soleil.

Un second souffle idéal après une période fiscale intense !

Un programme riche et complet a été proposé aux experts-comptables présents, avec notamment 5 plénières pour aborder leurs enjeux avec une bonne dose d’inspiration et d’optimisme. 6 ateliers interactifs ont été mis en place pour une mise en œuvre opérationnelle de leurs prochaines actions.

Voir tout le détail du programme. Retrouvez également un livret téléchargeable rempli de fiches pratiques, de bons conseils et astuces partagés par les différents intervenants présents au fulll day !

Des remerciements s’imposent !

Un immense merci à tous les experts-comptables présents. Sans vous toutes et tous, rien n’aurait été pareil. Quel plaisir d’avoir partagé ce moment avec vous !Merci à tous nos intervenants : Cyrille Sautereau, Pascal Liénard, Gaël Chatelain-Berry, Alain Leduc, Aurélien Marie, Maite Sarraillet, Jérémy Paille, Céline Amyot, Benjamin Doisy, Pierre Bourdu, Jean Loup Bretelle, Olivier Pleindoux, Nathalie Pululu et Jérôme Cauchois.Et merci à Sandy Prenois notre animatrice d’exception, pour sa pétillance, sa joie de vivre et son professionnalisme !

Merci à Caroline Le Boudouil (GL events), Marie Guénin et Hannelore YANGI (COM'L'OISEAU) pour leur aide précieuse dans l’organisation de cette journée.Un grand merci à nos partenaires Dext France , JDC SA, JLogiciels, Docaposte, Stripe et Amazon Web Services (AWS)) pour leur soutien.

Merci à toute l’équipe fulll, qui s’est donnée à fond avant et pendant ce fulll day pour vous offrir la plus belle des journées.Et enfin, merci à Boomerang Productions, pour la réalisation de cette superbe vidéo à visionner juste ci-dessous. Elle résume en images la journée mémorable que nous avons passée !

Lire l'article
Facture électronique

#Chapitre3 - Facture électronique : "partez avec la voiture, et passez votre permis après !"

2 minutes

Après le 2ème chapitre "La France et les PDP, ou la facture électronique la plus complexe au monde" , place maintenant au chapitre 3 !

Pascal Liénard continue de vous partager sa vision tout en vous éclairant grâce à des éléments et exemples concrets.

Alors Pascal, prêt pour cette « Facture électronique « First blood, part two » ?

Pascal : D’accord, c’est mérité, il faut tempérer la relative virulence du propos. Donc avant d’aller plus loin, j’aimerais proclamer haut et fort que la réforme de la facture électronique est une bonne chose, et j’oserais même l’affirmer, que c’est une nécessité.

Désormais, l’Allemagne et la France sont pratiquement les lanternes rouges de l’Europe, et tout ce qui permet de digitaliser les transferts et le traitement des informations va dans le bon sens. Une fois mis en place, le processus sera sans aucun doute bénéfique.

Toutes mes remarques se concentrent principalement sur la multiplicité des choix et le manque de visibilité offerts aux entreprises qui se retrouvent dans la situation complexe de devoir « choisir sans savoir ».

Peux-tu nous donner quelques exemples ?

Pascal : Déjà à un an de l'échéance, aucune plateforme n’est opérationnelle. A commencer par la plateforme d'État, qui proposera à seulement quelques pilotes de réaliser les premiers échanges en janvier 2024. Pour tous les autres, ce sera le « grand saut » en juillet !

Ces derniers temps, on parle beaucoup des PDP. Comme je l’ai déjà fait remarquer, de très nombreux acteurs communiquent sur leur offre. Mais si on regarde les faits d’un peu plus près, combien existe-t-il de PDP en ce moment ? 10 ? 5 ? Eh non, 0 !

Aujourd’hui, il n’y a que des « candidats PDP », qui seront dans un premier temps immatriculés, puis seulement plus tard certifiés. Donc en réalité, actuellement on travaille sur plan ! Avouez que la chronologie est surprenante : on immatricule d’abord, et on certifie ensuite… En gros, c’est comme si on disait “partez avec la voiture, et passez votre permis après”.

Mais les vrais pièges sont encore nombreux (et c’est là que le Doliprane peut aider, donc n’hésitez pas). Prenons l’exemple de l’entreprise bien organisée, qui après étude approfondie, a choisi une superbe PDP « A ». Cette entreprise a un fournisseur, qui tout aussi consciencieusement, a choisi une PDP « B ».  Comment fait-on ?

On serait tenté de répondre : « Facile ! La PDP « B » envoie la facture à la plateforme d’état, qui la retransmet à la PDP « A» et le tour est joué!”. Oui… Mais non !

L’Etat veut bien des PDP, mais pour le soulager des traitements, donc elle ne veut recevoir que les informations nécessaires et suffisantes au calcul de l’impôt, une sorte de synthèse sous un format appelé “e-reporting”. Pour le reste, PDP du doux pays de France, interconnectez-vous ! D’ailleurs, c’est une obligation prévue dans le cahier des charges…

Alors, pas de problème : « B » sera forcément connectée à « A ». “Pascal tu nous ennuies avec tes faux problèmes !”, me direz-vous.

Je formule simplement une remarque toute bête : sur 100 candidats PDP, imaginons qu’il y en ait 50 retenus (quoiqu’il faudra m’expliquer sur quels critères l’état pourrait accorder à l’un ce qu’il refuserait à l’autre, mais admettons). Sur ces 50 PDP en juillet 2024, combien de liaisons 2 à 2 faut-il construire ? Un petit peu de mathématique ? Allez, je vous donne la formule N*N-1 /2 soit : 1225 !

Et attention ! Il n’existe pas de normes d’échanges techniques imposées, il faudra au-delà conclure des accords commerciaux entre 50 sociétés définitivement concurrentes qui, aujourd’hui encore, ne se connaissent même pas.

Quand je vous disais qu’on allait bien s’amuser…

Là encore, soyez vigilants : il y a des pistes. Certains parlent de peppol, une norme internationale, alors que d’autres parlent d’API « Chorus like », ressemblant à celles du portail d’Etat. Mais il reste 12 mois… et il n’existe pas (encore) de gouvernance capable de rationaliser les travaux. On sera donc très « court ».

En effet… Dès lors, est-ce qu’on pourrait penser que la situation est inextricable ?

Pascal : Non, on va y arriver !

Tout d’abord, parce que nous pensons qu’un bon nombre de PDP vont, en réalité, recourir à des services en marque blanche ou grise de très gros opérateurs qui se connaissent et s’interconnecteront.

Ensuite, on verra rapidement que les gens « sérieux » envisageront d’être à la fois OD et PDP, si leur PDP n’est pas encore connectée avec une autre, on pourra basculer sur le système OD.

Enfin, je pense qu’au début il va y avoir une phase un peu compliquée, mais qui comme à chaque fois que l’objectif est bon, finit toujours par se normaliser. On va juste transpirer un peu… Un peu beaucoup !

Gardons le moral ! D’ailleurs, tu nous avais parlé d’un florilège de réflexions sur la facture électronique. Peux-tu nous en partager certaines ?

Pascal : Si vous voulez, je peux en effet vous partager quelques retours que j’ai reçus de cabinets comptables, ainsi que les réponses et éclaircissement que j’ai pu leur apporter :

Réflexion 1 : « Alors, vous serez « OD ». Cela signifie que je dois trouver une PDP pour mes clients ? »

Non vous n’êtes pas obligés, vous devrez leur faire choisir une plateforme et cela peut être celle de l’Etat directement.

Réflexion 2 : « Ce n’est pas possible, il y a plein de choses que peut faire une PDP, mais que ne peut pas faire une OD. Vous ne pouvez même pas remettre les factures d’un fournisseur à un client, vous vous rendez-compte ? »

Il faut comparer les services d’une PDP avec les services cumulés d’une OD et du portail d'État. Nous n’avons pas à remettre la facture, car c’est la PPF (Chorus) qui le fera.

Réflexion 3 : « Oui, mais un OD ne sera pas certifié par l’Etat ! »

Evidemment, puisque le service utilisé… c’est l’Etat lui-même ! Ils ne vont donc pas se certifier eux-mêmes.

Réflexion 4 : « Pour les factures de ventes de mes clients TPE, de toute façon ce n’est pas avant 2026 ! »

Attention ! Ce n’est pas « obligatoire » avant 2026, mais elles peuvent opter dès juillet 24. Alors, ne nous précipitons pas, mais n’attendons pas décembre 2025 pour y aller…

Conseil d’un ami qui vous veut du bien !

Lire l'article
Facture électronique

#Chapitre2 - La France et les PDP, ou la facture électronique la plus complexe au monde.

2 minutes

Après notre article facture électronique : osez l’OD !”, place au second chapitre de notre série, toujours en compagnie de Pascal Liénard !Aujourd’hui, parlons des choix opérés par la France vis-à-vis des PDP, ou Plateformes de Dématérialisation Partenaires.Et oui, si notre pays est l'un des derniers en Europe à ne pas encore avoir adopté la facture électronique, elle permettra pourtant l’existence officielle d’un certain nombre de plateformes privées qui véhiculeront des factures, en plus du portail d'État.Allons plus loin avec Pascal !

En quoi le système mis en place en France est-il particulier ?

En optant pour ce fameux schéma en « Y », la France est devenue quasiment le seul pays au monde à avoir osé rendre obligatoire l’e-invoicing en même temps que l’e-reporting, tout en n’imposant pas de passer par un portail d’Etat unique.

Pourquoi ce choix ? Et bien, suite au rapport d’un très grand cabinet de conseil, il a été porté à la connaissance de l'État que des plateformes EDI échangeaient déjà des millions de factures dématérialisées dans des secteurs tels que l’automobile ou la grande distribution, et ce avec beaucoup d’autres informations (colisage, traçabilité, logistique,...) qui n’intéressent pas du tout le fisc pour le calcul de l’impôt.

Ces plateformes ont alors proposé de travailler différemment : au lieu de tout faire passer par le portail d'Etat, pourquoi ne pas maintenir le système actuel et leur demander de transmettre à l’Etat les seules informations nécessaires et suffisantes au calcul de la TVA ?

L’Etat a accepté, moyennant le respect d’un cahier des charges draconien et une certification auditée tous les 3 ans afin d’assurer l’exhaustivité et l’intégrité de l’information transmise.

Le principe des PDP était né… et la boîte de Pandore ouverte.

Qu’entends-tu par là ? Qu’est-ce que cette décision a engendré ?

C’est simple. Alors que dans les premières réunions, l’Etat parlait d’une dizaine de sociétés candidates, une horde tonitruante n’ayant rien à voir avec l’EDI s’est ruée sur le concept : les banques, pour capter les flux, les spécialistes de l’OCR (dont la raison d’être était légèrement menacée par les fichiers XML de Factur-X), les éditeurs toujours avides de possibilités d’intermédiation,... Tout le monde y est allé de sa demande de PDP. Aujourd’hui, on parle d’une centaine de postulants !

Avec des développements coûteux, des phases de tests très réduites, une immatriculation sans contrôle opérationnel et une vraie certification ultérieure, prévue dans l’année de lancement de la réforme !

Et on s’étonne qu’il ne soit pas simple pour une entreprise de faire les “bons” choix dès aujourd’hui…

Mais tout cela va avoir des conséquences encore plus amusantes pour la suite. Enfin amusantes…

On en reparle au prochain chapitre : "facture électronique : partez avec la voiture, et passez votre permis après !".  Abonnez-vous à notre compte LinkedIn pour ne pas manquer cela !

Lire l'article
Facture électronique

#Chapitre1 - Facture électronique : osez l'OD !

2 minutes

Dans le cadre de la réforme de la facture électronique, Pascal Liénard, Directeur commercial & marketing fulll, prend la parole pour une série d'articles qui, nous l'espérons, viendront compléter vos réflexions sur le sujet.Prêt(e)s pour ce premier chapitre ? Pascal, à toi de jouer !

Pourquoi est-ce important pour toi de partager ta vision aujourd'hui ?

Beaucoup des experts-comptables avec qui nous sommes en relation, autant clients que prospects, nous interrogent sur la réforme de la facture électronique.

Nous constatons que les flux d’informations qui circulent toujours plus nombreux sont souvent orientés et pas toujours pertinents, laissant parfois dubitatifs nos amis professionnels du chiffre et du conseil auprès de leurs clients entrepreneurs.

La période fiscale étant terminée, les cabinets peuvent désormais se reconcentrer plus sereinement sur cette obligation tout proche : à peine J-Une période.  C'est donc le moment idéal pour moi de m'adresser à vous aujourd'hui.

Et puis, certains experts se souviennent de mes interventions sur la DSN ou sur le FEC et m’ont demandé de compléter leur analyse avec la finesse et la subtilité qui me caractérisent (Elephant/Magasin de porcelaine, vous avez l’image…). Dès lors, comment refuser ?

Pour ce premier chapitre, que souhaites-tu partager avec nous ?

Pour commencer, il me semble important de poser les bases en partageant notre approche en tant qu'éditeur.

Et là, je ne peux que reprendre notre mantra “avec fulll, osez l’OD !”.

Vous étiez prévenus…La position de fulll est claire, simple et n’a pas varié d’un iota depuis 2021 : fulll proposera, par l’intermédiaire de son portail collaboratif, des fonctions d’OD (opérateur de dématérialisation) aussi bien en collecte de factures qu’en émission, avec suivi des statuts et fonctions de validation par API, ce sans aucun supplément de coût.

Au passage, je soulève une première ambiguïté lexicale. Si le terme Opérateur de Dématérialisation (choisi par l’administration) est assez compréhensible dans le cas des factures entrantes, car il fait penser aux solutions de scan bien connues, il est beaucoup moins évident dans le cadre des factures sortantes. Donc, rappelons-le : en tant qu’OD, il est tout à fait possible de  déposer par API les factures de ventes sur le portail de l’administration (PPF) !

Viennent ensuite les questions relatives aux services complémentaires qui vont intéresser l’entreprise cliente des cabinets ou les cabinets eux-mêmes, en vue d’optimiser encore les automatismes de codification.

Peux-tu nous en dire plus sur ces services complémentaires ?

Tout d’abord, parlons de “l’archivage”.

Les services de conservation de la PPF offriront gratuitement 10 ans de stockage, ce qui suffira amplement pour satisfaire aux obligations des TPE. On peut imaginer des options d’archivage légal, mais ceux qui ont déjà essayé de vendre ce type de service aux TPE savent combien il est complexe de facturer cette “sur-sécurité” à ce type de clients. En sachant leurs documents conservés par l’Etat 10 ans, en plus des stockages GED classiques, les patrons de TPE seront certainement encore moins réceptifs que par le passé.

Alors, j’entends déjà les hauts cris des spécialistes de l’archivage légal et autres SAE invoquer la fameuse PAF (Piste d’Audit Fiable, PPF PAF on fait fort sur les acronymes je trouve!). Vous aurez beau jeu de leur répondre que dans une entreprise où la même personne gère toute la chaîne commerciale, on en fait peut être un peu trop…

C’est pourquoi  fulll aura une offre en la matière, mais qu’elle restera optionnelle.Ensuite, il y a le très gros enjeu des services optionnels de règlements ou de recouvrements.

Tout d’abord, un rappel : là non plus le rôle d’OD n’est absolument pas incompatible ! fulll proposera une palette de services partenaires. Outre la simplification réelle du travail administratif de l’entrepreneur, ces services auront deux effets très positifs :

  • la sécurisation du travail du cabinet, qui préparera les “factures à payer” en laissant le chef d’entreprise déclencher le paiement et surtout la diminution du recours au chèque ;
  • la possibilité d’automatiser complètement la codification comptable. Seule limite, les frais prélevés pour ce type d’outils.

Pour information, fulll proposera aussi la solution “basique”, permettant la création d’un fichier de virement bancaire transmissible gratuitement aux établissements financiers (Smart is Powerful !).

fulll en tant qu'OD, quels atouts  ?

Le choix d’être Opérateur de Dématérialisation permettra à fulll de garantir un fonctionnement opérationnel dès le 1er juillet 2024, et ce dans tous les cas de figure rencontrés par les clients des cabinets d’expertise.

fulll est candidat à la phase pilote en tant qu’OD, avec un ensemble “PDP-OD-Entreprise-Cabinet”, ce qui nous permettra, nous l’espérons, d'expérimenter en conditions réelles le fonctionnement du dispositif six mois avant la date fatidique.

Car fulll OD, mais toujours solution interopérable, travaillera avec des PDP «amies». Au premier rang desquelles devraient figurer jefacture.com et d’autres acteurs bien connus de l’EDI ou de la dématérialisation, afin de permettre à ses clients d’effectuer des choix complémentaires.

Dis-nous tout, qu'est-ce qui nous attend pour le second chapitre ?

Dans le prochain article, le sujet portera sur

"La France et les PDP, ou la facture électronique la plus complète, mais aussi la plus complexe au monde".

Je vous présenterai le choix de la France d'adopter ce fameux schéma en «Y». Il rend obligatoire l’e-invoicing en même temps que l’e-reporting, tout en n’imposant pas de passer par un portail d’Etat unique. Là, il faudra être en forme ou prévoir le doliprane… Voire les deux !

D’ici là, portez vous bien et n'oubliez pas de vous abonner à notre page LinkedIn si vous voulez être sûr(e) de ne pas rater la sortie des prochains épisodes !

Lire l'article
Events pro

Ateliers fulll x CJEC : ça y est, la machine est lancée !

2 minutes

Dans le cadre de notre partenariat premium avec le ANECS & CJEC, nous avions promis de mettre en place des actions concrètes pour accompagner les jeunes experts-comptables.

Chez fulll, on tient toujours nos promesses !

De Marseille à Reims, nos équipes ont eu le plaisir d’aller à la rencontre des membres du CJEC Provence et du CJEC Champagne pour animer un atelier sur l’importance de développer et de diversifier les missions du cabinet. Un sujet aux enjeux forts, et surtout très actuels !

Comment les mettre en valeur ? Comment se différencier ? Comment lancer leur activité sereinement et efficacement ?

Des questions qui ont rythmé et nourri nos échanges et auxquelles nous espérons avoir apporté des réponses grâce à nos astuces et conseils !Mille mercis pour l’accueil chaleureux que vous avez réservé à nos équipes. Une dédicace également à Françoise, Benjamin, Karen et Lionel qui ont représenté nos couleurs lors de ces ateliers !Bien entendu, nous ne comptons pas nous arrêter là…Affaire à suivre ! 🧐

Ateliers fulll x CJEC
Ateliers fulll x CJEC - 2
Lire l'article
Législation

L'arrêté relatif au relèvement du salaire minimum de croissance

2 minutes

L’augmentation du SMIC au 01/05/2023 est enfin officielle : l’arrêté a été publié au JO du 27/04/2023 !

A compter du 01/05/2023 :

  • le SMIC brut sera fixé à 11,52 € par heure en métropole, en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion, à Saint-Barthélemy, à Saint-Martin et à Saint-Pierre-et-Miquelon (soit 1 747,20 € par mois pour une durée légale du travail de 35 heures par semaine) ; cela représente une augmentation de 2,22 % ;
  • le Minimum garanti sera fixé à 4,10 € (contre 4,01 € depuis le 01/01/2023).

Source : Arrêté du 26 avril 2023 relatif au relèvement du salaire minimum de croissance, publié au JO du 27 avril 2023

Lire l'article
Portrait fulller

À la rencontre de Cécile, responsable assistance !

2 minutes

Cécile, c'est notre super responsable assistance !Chaque jour, elle et son équipe prennent à cœur de répondre aux demandes de nos clients de la façon la plus efficace, humaine et proactive possible. Dans ce nouvel article, elle vous en dit plus sur le fonctionnement et les bonnes pratiques mises en place dans son service, qui poursuivent un seul et même objectif : satisfaire notre clientèle au quotidien !

1. Quel est ton parcours et comment es-tu arrivée chez fulll ?

Dans mon parcours, j’ai toujours travaillé dans des métiers au contact des clients. Quand je suis arrivée chez fulll il y a près d’un an, il y avait un vrai challenge : optimiser le fonctionnement du service assistance. C’est cela qui m’a donné envie de rejoindre l’aventure !

Aujourd’hui, je suis manager de l’assistance portail, et je gère également le niveau 2 de l’assistance comptabilité. Au quotidien, mon rôle est d'accompagner les collaborateurs, mettre des choses en place pour gagner en satisfaction client, mais aussi travailler sur des points d'amélioration qui nous sont remontés (en interne ou par nos clients), etc.

Dans mon équipe, nous sommes 6 actuellement, et nous recherchons activement un 7ème talent ! D’ailleurs, si vous lisez cet article et que vous êtes intéressés, n’hésitez pas à transmettre votre candidature.

2. Selon toi, quels sont les principaux objectifs d’une bonne assistance client ?

Pour être une bonne assistance, il faut principalement de la réactivité et surtout beaucoup d'empathie. Il faut aussi une personnalisation dans la relation, nous voulons vraiment créer un lien unique avec nos clients. Chez beaucoup d’autres éditeurs, les clients sont traités comme des numéros, ce qui ne sera jamais un mode de fonctionnement chez nous.

Il est aussi important d’offrir un réel un suivi, notamment en leur donnant de la visibilité sur leurs demandes. Certains sujets peuvent parfois être plus complexes, entraînant un temps de traitement plus long. Bien entendu, tous nos clients sont capables de le comprendre, mais pour cela, il faut leur expliquer. D’où la nécessité de donner une visibilité dès le départ !

Enfin, une bonne assistance, c’est aussi de la qualité et beaucoup d'accompagnement, parce que l’utilisation d’un logiciel n’est pas forcément aisée pour tout le monde dès le début.En réunissant tous ces éléments, on se donne toutes les chances d'arriver à une réelle satisfaction client !

3. Quand tu parles de personnalisation de la relation, comment cela se matérialise ?

Nous essayons de limiter les échanges, dans le sens où s’il y a plusieurs allers-retours entre nous et le client, nous prendrons le temps de les appeler. Certains membres de mon équipe ont même mis dans leur signature mail un accès direct à leur agenda pour que les clients prennent eux-mêmes rendez-vous pour programmer un appel. Très souvent, les cabinets sont super contents qu’on les rappelle, ils sont ravis d'avoir de vraies personnes au téléphone !

4. Que mets-tu en place chez fulll afin d’être à la hauteur des objectifs ?

Quand je suis arrivée chez fulll, j'ai commencé par faire un constat. J'ai pris une centaine de tickets, puis j'ai analysé ce qui fonctionnait le mieux et le moins bien par rapport aux retours clients. Grâce à cela, j’ai pu déterminer les points d’amélioration à effectuer, mais aussi les éléments sur lesquels il fallait maintenir le même niveau de qualité.

Ensuite, j’ai mis en place plusieurs bonnes pratiques, que ce soit des réunions d'équipe régulières, mais aussi des points individuels (certains collaborateurs ayant besoin d’un accompagnement plus ciblé sur certaines parties).

L’avantage avec mon équipe, c’est qu’ils ont déjà un état d’esprit très orienté client. Ils ont vraiment cette envie de les aider, de les satisfaire. D’ailleurs, ils aiment beaucoup se relayer entre eux les remontées positives des clients. Nous avons notamment un “mur des mercis” dans notre bureau, sur lequel nous affichons tous ces retours. C’est super valorisant pour nous !

5. Une fois un incident relevé, quel est le processus établi afin de le résoudre ?

Pour faire une demande, nos clients ont trois canaux d’entrée : l’appel, le mail ou le ticket. Une fois formulée, nous la prenons en charge, nous l’analysons et faisons un accusé de réception auprès du client, tout en lui demandant des informations complémentaires si nécessaire.

Si nous n’arrivons pas à trouver une solution, la demande sera transférée au service produit, qui interviendra directement dans le logiciel pour débloquer la situation. Pendant ce processus, nous gardons bien entendu un œil sur l’avancée du traitement, tout en tenant nos clients informés régulièrement. Notre objectif, c’est d’être suffisamment proactifs pour qu’ils n’aient pas à nous solliciter pour un suivi de leur demande.

Une fois que le problème est résolu, nous vérifions que la solution est viable, et ensuite nous le notifions au client !

6. Avez-vous déjà été confrontés à des situations compliquées à gérer ?

Il n'y a pas de situations compliquées, il y a des situations à gérer. Bien sûr, il y en a qui sont plus tendues que d'autres, notamment quand on se retrouve face à un client un peu énervé.

Dans ces cas-là, la meilleure façon de réagir est d’être à son écoute et de trouver les bons mots. Cette écoute active est primordiale, et fait partie d'un des principaux leviers pour apaiser de nombreuses situations.

7. Qu’est-ce qui est le plus gratifiant pour toi dans ton métier au quotidien ?

C'est de voir évoluer les collaborateurs que je manage, de les voir heureux, de voir qu’ils se professionnalisent, qu’ils ont vraiment cette culture du client et surtout qu’ils se sentent fiers de leur travail.

Ce qui est également très gratifiant, ce sont tous les retours positifs que nous recevons de nos clients, car cela montre que tout ce que nous avons mis en place paye. Si nos clients sont contents de travailler avec nous aujourd’hui, on a tout gagné !

8. Tu dois avoir des petites anecdotes à nous partager ! Qu’est-ce qui te vient en tête ?

Je vais faire une réponse qui va faire un peu “politicien”, je ne dévoilerai pas les anecdotes clients, ce qui est sûr c’est qu’ils sont vraiment super et qu’il est très agréable de travailler avec eux au quotidien. Ce qui se passe à l'assistance reste à l'assistance !

Lire l'article
Team fulll

fulll était présent à AWS summit 2023 !

2 minutes

Hier se déroulait l’AWS Summit 2023, un gros événement Tech qui a réuni pas moins de 9000 personnes au Palais des Congrès à Paris. Et nous y étions !

Jérome COSTE (Solutions Architect – fulll) et Sebastien NEYRIEUX (Senior Solutions Architect – AWS) ont eu l’opportunité d’y présenter une session sur le thème “Migrez et modernisez vos applications d’entreprise”.

L’occasion de découvrir les chemins de migrations vers le cloud proposés par AWS, de la phase de préparation jusqu’à leur modernisation.

Lire l'article
Portrait fulller

À la rencontre d'Adam, responsable de la gamme mobile fulll

2 minutes

Adam, c’est le responsable de la gamme mobile chez fulll ! Grâce à lui et son équipe, vous pouvez profiter, en mobilité, des produits et services fulll. Où que vous soyez, ils vous accompagnent partout !Dans cet article, Adam vous dit tout ce que vous devez savoir sur la gamme, tout en vous partageant en avant-première les projets à venir. Et il y en a !

Pour retrouver l’ensemble de ces applications, rendez-vous sur l’Apple Store et Google play.

Parlons un peu de ton rôle et de tes missions chez fulll !

Je travaille chez fulll depuis deux ans et demi, en tant que chef de produit de la gamme mobile. À mon arrivée, nous n’étions que trois au sein de la squad, et aujourd'hui, nous sommes neuf. Cette équipe est bien entendu amenée à évoluer, afin de pouvoir assurer le développement des nouvelles applications et fonctionnalités qui devraient arriver au cours des prochains mois.

Au-delà de la gestion de produit “classique” et du management humain, le rôle de chef de produit de la gamme mobile est un peu particulier. Chaque jour, je dois travailler de façon transverse avec les autres gammes produits pour cibler précisément les besoins et ensuite déterminer s’il y a ou non une appétence pour la mobilité. Pour cela, plusieurs questions se posent : quelles sont les fonctionnalités clés du produit ? Sont-elles facilement adaptables sur mobile ? Quelle est la plus value de l’application mobile par rapport au produit ? etc. Une de mes missions est de répondre à ces interrogations.

Dans ce type de projet, il faut être proactif au quotidien, savoir anticiper les risques, bien connaître les besoins et objectifs du produit, mais aussi savoir ce qu’on veut en faire pour pouvoir prioriser les différentes tâches.

Peux-tu nous en dire plus sur ce que propose la gamme mobile ?

En mettant à disposition, sur mobile, des produits et services disponibles sur le web, les objectifs de notre gamme sont de :

  • fournir des outils orientés clients qui leur permettent d'accéder à des données de pilotage de leur entreprise, les aidant ainsi à faciliter certaines tâches du quotidien.
  • générer rapidement des éléments de pré-comptabilité qui facilitent et optimisent le travail des collaborateurs et experts-comptables.

Par exemple, avec l’application fulll fact, il est possible pour le client de gérer en quelques clics tous les documents comptables, du devis à la facturation, en passant par la gestion des paiements, des catalogues, des produits, de la base de données clients,...Avec l’application fulll dashboard, il est possible de visualiser et de comprendre facilement les données, mais aussi de mesurer efficacement la performance de l’entreprise afin de prendre les meilleures décisions.

Enfin, il y a l’application portail de fulll, le point d’accès central qui regroupe l’ensemble des informations dont les clients ont besoin, à savoir l’état de leurs tâches, une messagerie, l’activité des dossiers, les relevés de comptes bancaires, mais aussi le scan, le classement, l’archivage et l’envoi de documents,...).

Un apport intéressant lié aux applications mobiles, ce sont les notifications push, car elles permettent d’avoir des informations et des indicateurs de suivi sur l’activité en temps réel. Par exemple, sur l’application fulll, l’utilisateur reçoit une notification à chaque nouveau message. Sur fulll dashboard, il en reçoit une quand il y a des indicateurs à saisir pour la mise à jour du dashboard.

Peux-tu nous nous annoncer des nouveautés en avant-première ?

Un des objectifs majeurs de notre roadmap pour la gamme mobile concerne l'amélioration de notre module de scan, disponible sur notre application fulll. Nous souhaitons notamment améliorer l'expérience de capture de document, car nous savons que cela peut être un point de friction lors de la transmission des pièces comptables.

Pour compléter ce module technique, nous allons retravailler entièrement l'expérience utilisateur au niveau de l’envoi de documents, afin de le fluidifier et réduire le temps nécessaire pour envoyer une pièce comptable.

D’autres sorties d’applications mobiles sont également prévues :

Tout d’abord, l’application fulll bank qui sera, au même titre que fulll fact, très complète au niveau du scope fonctionnel. L’utilisateur pourra gérer facilement ses opérations bancaires, avec notamment la possibilité d’intégrer des tags, de lier des tâches, de découper des lignes bancaires, de gérer les chèques et dépôts de chèques,... Il y a aussi le système de notifications push qui devrait arriver au lancement, et qui permettra, par exemple, d’être directement averti quand une nouvelle opération arrive sur le compte.

Ensuite, il y a l’application Portail RH salarié, qui permettra à un salarié de voir son planning, poser ses congés, mais aussi d’accéder à toutes sortes d’informations et ressources (comme les documents d'entreprise, par exemple).Enfin, avec la sortie prochaine de l’outil fulll achats, nous travaillons en parallèle sur une application mobile qui permettra à l'utilisateur de visualiser et valider rapidement ses factures d'achats.

Bien entendu, nous travaillons en continu sur l'ensemble de nos applications en production afin de les maintenir aussi bien techniquement que fonctionnellement.

Si tu devais donner ton ressenti en tant qu’employé chez fulll, qu’est-ce que tu dirais ?

Ce qui me plaît particulièrement, c’est que nous avons une certaine liberté de travail. L’équipe peut expérimenter pas mal de choses en termes de technologies, de design,... Et ça, c’est une vraie chance ! Si la direction assure bien entendu un suivi du projet, je sais qu’ils nous font confiance sur les choix réalisés ou à venir.

Ce que j’apprécie également, c’est la cohésion d'équipe qui existe au sein de la gamme mobile. Si quelqu’un a un problème, tout le monde se réunira pour l’aider à trouver une solution. Nous avançons tous vers un objectif donné, et nous nous donnons tous ensemble les moyens de l’atteindre !

Retrouvez toutes les informations dont vous avez besoin sur notre site !

Lire l'article
Team fulll

100 000 utilisateurs sur fulll : check !

2 minutes

Ça est, 100 000 utilisateurs utilisent désormais fulll...  Mais qui sont-ils ?

  • Près de 2000 experts-comptables
  • + de 15 000 collaborateurs
  • + de 80 000 utilisateurs en entreprise

Un résultat plus qu’encourageant, qui nous booste pour la suite de cette belle aventure. Alors, au nom de toute l’équipe fulll : merci pour votre confiance !

Et maintenant, en route vers notre prochain objectif : les 200 000 utilisateurs !  

Experts-comptables, vous ne connaissez pas encore nos outils ? Il n’est jamais trop tard pour vous rattraper. Allez faire un petit tour sur notre site, et découvrez un ensemble de solutions innovantes pensées pour vous et vos clients.

Lire l'article
Outils fulll

Des outils d'acquisition qui facilitent la vie de vos clients (et la vôtre) ! ​

2 minutes

Experts-comptables, recevez les pièces comptables de vos clients en toute simplicité !Chez fulll, nous vous offrons l’efficacité, mais aussi la liberté : faites votre choix parmi nos 4 outils d’acquisition OU nos outils partenaires. C’est vous le maître du jeu !

Quelles possibilités s'offrent à vos clients ?

  • L’utilitaire fulll scan et son découpage de pièces
  • L’application mobile fulll et sa prise de photo simplifiée (Android et IOS)
  • L'envoi par email sécurisé pour le transfert de mes pièces jointes
  • Un simple "glisser/déposer" directement vers le portail

Quels bénéfices pour vos collaborateurs & clients ?

  • L'ensemble des pièces comptables sont numérisées, triées et envoyées au cabinet, en toute sécurité
  • Les documents sont facilement transmissibles en un simple "glisser-déposer" : plus besoin de les imprimer pour les numériser !
  • La disponibilité de l'ensemble des documents en temps réel pour le cabinet comptable
  • Plus de risque de perte de documents, ils sont tous précieusement conservés et archivés !
  • Des outils disponibles partout et à tout moment, notamment grâce à l'application mobile fulll (disponible sur Android et IOS)

En bref, des outils qui viennent faciliter votre quotidien, et celui de vos clients.

Elle est pas belle, la vie avec fulll ?

Lire l'article